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3 novembre 2012 6 03 /11 /novembre /2012 21:18

 

L'embellie de Audur Ava Olafsdottir

 (Zulma - août 2012 - 358 pages)

Traduit de l'islandais par Catherine Eyjolfsson (première édition 2004)

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Voici le deuxième roman de Audur Ava Olafsdottir publié en France avec Rosa Candida qui a eu un très grand succès de librairie.

J'ai lu ce roman en avant-première en juin dernier dans le cadre du jury du prix du livre FNAC.

Je n'ai pas lu "Rosa Candida", donc il ne m'est pas possible de dire si ce livre est du même niveau.

Je dirai simplement que j'ai aimé ce livre sans que ce soit un coup de coeur.

 

L'auteure, islandaise, née en 1958 raconte quelques jours dans la vie d'une femme islandaise. La narratrice a 33 ans. Mariée sans enfant car elle n'en veut pas, elle a aussi un amant, un de ses clients car elle est écrivaine publique. Connaissant 11 langues, elle est également traductrice.

Elle se retrouve en situation de divorce. Et décide de partir en voyage. Mais, son amie Audur lui demande de s'occuper de son fils car elle s'est blessée et est enceinte de deux jumeaux.

L'enfant est sourd et parle avec le langage des signes. Elle relève le défi et part avec le très jeune enfant, Tumi, 4 ans. Mais l'hiver en Islande, avec la pluie incessante, devient un 'cauchemar". Les routes sont impraticables et il faut se réfugier là où c'est possible.

On se laisse emporter dans cette aventure islandaise, où trois hommes vont surgir dans la vie de la narratrice. L'un d'eux semble vouloir "s'incruster". L'enfant, lui, s'adapte à toutes les situations et une véritable complicité va s'installer entre eux deux.

C'est là que le roman se montre attachant, sans tomber dans le sentimentalisme, car il y a aussi beaucoup d'humour dans cette narration du voyage, entrecoupée d'un journal intime.

Soixante quatre petits chapitres plus un chapitre zéro et quarante sept recettes de cuisine émaillées tout au long du livre, sans oublier, nous dit l'auteure, une recette de tricot.

Bref, un livre bien écrit, cocasse où les embuches sont censées aller vers "l'embellie", c'est dire qu'il faut être optimiste en lisant ces aventures au pays islandais...

 

J'inscris ce livre dans le cadre du challenge de la rentrée littéraire initiée par Mimi et Hérisson :

4/7

 

Bonne lecture,

Denis

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 17:30

Nouvel hommage ce 12 octobre à Hubert Nyssen le fondateur des éditions Actes Sud avec ce très court livre :

 

 

   

 

 

Celles qui savaient de Claude Pujade-Renaud

 (Actes Sud - 63 pages - Mai 2000)

Un très court livre autour de cinq femmes de l'Antiquité Grecque :

Cassandre, Oenoné, Okyrrhoè, Jocaste et Ismène.

Des poèmes - hommages, c'est-à-dire, leur parole en vers pour quatre d'entre elles.

Le livre commence ainsi (Cassandre):

Sur le navire du retour

moi Cassandre

la captive

 

Retour pour les vainqueurs

et pour moi enfin silencieuse

l'accompagnement nécessaire

de ce que j'avais proféré

Et se termine par ces mots (Ismène):

Enlacée par le fleuve

dont je porte le nom

 

Du clan des Labdacides

ces boiteux ces bancroches

restera un chapeau

dérivant au fil de l'eau

 

Vous sentez le souffle lyrique de ce livre où ces femmes, plutôt captives, rêvent et pensent à une autre vie.

Un petit livre à méditer.

 

Hubert Nyssen a été fidèle à l'oeuvre de Claude Pujade-Renaud depuis 1985. Une belle oeuvre à découvrir.

Je ferai ce soir un petit rappel des articles publiés pendant cette année d'hommage, qui s'achèvera le 12 novembre prochain, date anniversaire du décès de Hubert Nyssen, par un billet sur une oeuvre de l'éditeur-écrivain.

Bonne lecture,

Denis

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28 septembre 2012 5 28 /09 /septembre /2012 21:00

 

Les funambules de l'indifférence de Michel Diserens

(Plaisir de Lire - juin 2012 - 257 pages)

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J'ai présenté ce livre dans le cadre des mardis sur le 31 il y a quelques semaines.

A présent, je peux le présenter dans son intégralité suite à sa lecture complète.

Publié, en Suisse en juin 2012, par un auteur suisse, né en 1967, Michel Diserens, ce livre nous conduit en Colombie.

Le roman débute et s'achève le dimanche 30 octobre 2005, à l'aéroport international Santa Fé de Bogota. Ce jour-là, Nolberto, accompagné du jeune enfant de 6 ans Ruben, était venu à la rencontre de Giovanna au moment où il apprend qu'un attentat a fait des blessés et des morts.

Il se souvient alors des six jours passés en compagnie de la jeune femme...

Nolberto est un jeune homme issu des "gamines" colombiens, ces enfants abandonnés ou vendus par leurs parents et qui vivent dans la rue, sorte de jungle où la violence, le vol, la drogue est leur quotidien.

Avec l'aide d'une organisation humanitaire suisse, Nolberto a créé "Brote Juven", un orphelinat qui héberge des "gamines" et les éduquent pour les aider à sortir de la misère et de la délinquence. Edmond, suisse et salarié de l'organisation suisse, a beaucoup fait pour contribuer au succès de l'orphelinat. Malade, il a décidé de rester en Colombie et y est mort. 

Suite à ce décès, l'organisation envoie Giovanna Hubascher pour contrôler les comptes et faire un rapport afin de déciser la pursuite ou non des subsides.

Pendant 6 jours, Nolberto va accompagner la jeune femme dans ses déplacements à Bucaramanga et les environs. Elle va aller sur les lieux où Edmond a retrouvé une nouvelle vie. Et Nolberto explique comment vivent ces "gamines", la situation catastrophique du pays à Giovanni et au fil des discussions, des voyages il sent qu'il l'aime, d'autant qu'elle est très belle, intelligente... Bref tout ce qui peut plaire à Nolberto, mais régulièrement elle s'écarte de lui...

L'enjeu du livre est bien de décrire comme un reportage la vie colombienne en 2005 avec en filigrane cet amour "impossible" . Se réalisera t-il? Va t'elle rester ici comme Edmond?... 6 jours pour "convaincre", d'autant que la survie de Brote Joven dépend pour une grande part des fonds suisses, car ici il fuat payer la police, la mafia pour protéger les 'gamines" de la prison notamment.

 

L'explication du titre se trouve page 47 : "Il n'y avait d'ailleurs guère que les statistiques nationales sur la délinquence juvénile pour s'inquiéter des conséquences de nos numéros d'acrobates. Nous étions les funambules de l'indifférence".

Petit clin d'oeil à Gabriel Garcia Marquez et son livre "El amor en los tiempos del colera", pour rappeler que le colombien a obtenu le prix Nobel de littérature et qu'il est un "héros national".

J'ai lu ce livre grâce à l'éditeur Plaisir de lire qui me l'a envoyé grâcieusement.

Ce fut un plaisir de lecture (sans jeu de mot) à lire comme je l'ai dit comme un reportage sans concessions sur la Colombie.

En accord avec l'éditeur, j'en fais un livre voyageur. Si vous êtes intéressé(e) par ce livre dites le moi par un commentaire et je me ferai un plaisir de vos l'adresser avec seule consigne d'en faire ensuite un compte rendu avec référence vers l'éditeur et éventuellement mon article.

Bonne lecture,

Denis

 

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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 21:20

 

 

Une vie en littérature : Maurice Nadeau

conversations avec Jacques Sojcher

(Edtiions Complexe - collection Livre Examen - octobre 2002)

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Né en 1911, Maurice Nadeau a eu 100 ans l'an dernier. Une exceptionnelle longévité au service de la littérature. Et ce livre, publié il y a 10 ans permet de se plonger dans l'univers littéraire de Maurice Nadeau.

Son "interviewer" est un écrivain belge, poète, né en 1939.

 

 

Maurice Nadeau est né dans une famille d'ouvrier et va très tôt s'intéresser aux livres. Orphelin de père, il est placé dans un pensionnat et va poursuivre des études pour devenir enseignant.

La politique l'intéresse également et il devient trotkiste après avoir été exclu du parti communiste. Tout au long de sa vie, il va afficher ses fréquences politiques, souvent liées aussi aux auteurs qu'il publie, car pour lui, la littérature doit avoir des choses à dire.

Il est proche des surréalistes et publie en 1945 une "histoire du surréalisme".

 

 

Maurice Nadeau a publié ainsi plusieurs livres dont un sur Flaubert, mais toujours à partir d'articles publiés précédemment. C'est là son sens du travail littéraire. Faire découvrir, parler de ce qu'il aime et non de ce qu'il déteste et en faire des livres ensuite si nécessaire.

L'un de ses derniers a eu un certain succès :

 

Maurice Nadeau a été journaliste à "Combat" en 1945, cotoyant Pascal Pia et Albert Camus (qu'il n'apprécie pas trop). Puis il a créé la collection "Lettres Nouvelles" chez Juliard, puis chez Denoel et Robert Laffont, avant de créer sa propre maison d'édition.

 

Les amateurs de littérature doivent se souvenir de ces couvertures.

John Hawkes, Leonardo Sciasca et bien d'autres écrivains ont été publiés chez Maurice Nadeau avant de passer à la postérité chez d'autres éditeurs, car Maurice Nadeau, au titre de la "liberté" d'édition s'est refusé à faire des contrats d'exclusivité.

Et puis sa notoriété et son nom sont surtout associés à "La Quinzaine Littéraire", revue fondée en 1966. Ainsi, plus de 1 000 numéros à ce jour.

 

L'on peut voir à travers cet itinéraire retracé dans ces conversations passionnantes l'importance que Maurice Nadeau a eu dans les découvertes littéraires depuis plus de 70 ans. Il a ainsi contribué à fiare connaitre également Marguerite Duras, Samuel Beckett, Roland Barthes, Georges Perec, Nathalie Sarraute...

Laure Adler, dans sa biographie de Marguerite Duras, dit page 424 (Folio) que lors de la publication de "Barrage contre le Pacifique", Maurice Nadeau écrit dans "Combat" le 22 juin 1950: "Il est permis de penser que ce livre donnera à l'auteur succès et renommée et placera Marguerite Duras au rang - qu'elle devrait occuper depuis longtemps - de nos meilleurs jeunes auteurs".

C'est là le côté "visionnaire" de Nadeau, toujours à l'affût de jeunes talents.

Il a été l'ami de Henry Miller également :

 

Vous aurez compris que je connais très bien le parcours de Maurice Nadeau. J'ai acheté au moins 50 livres édités par Maurice Nadeau, j'ai été abonné pendant plusieurs années à "la Quinzaine Littéraire"... J'ai lu la plupart de ses livres, bref, c'est un grand Monsieur de la Littérature que j'ai été heureux de retrouver dans ce livre, sans doute difficile à trouver en librairie.

Bonne lecture,

Denis

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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 07:48

 

 

 

 

Editions D'un noir si bleu - 152 pages

 

4e de couverture :

Une jeune femme veut un enfant. L’enfant ne vient pas. Le désir la déchiquette à belles dents. Elle veut comprendre, il doit bien y avoir une explication, une bouée rationnelle, physique, à laquelle se raccrocher. Dans sa quête, elle rencontre successivement une ogresse lilliputienne, une gentille patricienne paresseuse, un ours plaisantin, un fana des jeux vidéo in utero, des cyber-­sirènes, et les affres de la normalité. Tout va malheureusement bien.
Alors elle décide de prendre sa tête au sérieux et de chercher dedans.
Dedans, il y a un souvenir de grand-mère, des chiens, des chats, des chevaux, et un événement, quand elle avait quinze ans.

C’est une épopée gynécologique miniature, une exploration de l’intimité féminine du désir d’enfantement, suivie d’un bestiaire introspectif où l’on voit que la sexualité des jeunes filles s’apprend chez les animaux.

Ce roman a été sélectionné par l’Opération Manuscrits 2009 de la revue Technikart. Il faisait partie des 4 finalistes présentés au Salon du livre de Paris en mars 2009.

 

Un livre rempli d'émotion qui m'a profondément touchée par l'épopée de cette femme en mal d'enfant. Une grande sensiblitié aussi!

Une écriture qui touche par sa beauté également.

 

 

Je vous invite à découvrir le site d'ELOÏSE LIEVRE

 

 

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21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 21:30

 

 

 

1948 de Yoram Kaniuk (Fayard - 250 pages - août 2012)

Traduit de l'hébreux par Laurence Sandrowicz

Première édition originale : 2010

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Voici un livre classé dans le genre littéraire "récit", et qui a figuré dans la sélection "roman" de la rentrée littéraire dans le cadre du jury des lecteurs FNAC.

L'auteur est un écrivain né en 1930 à Tel Aviv. Il a participé à la guerre d'indépendance, ce qu'il raconte dans ce livre.

La dédicace du livre en dit long sur l'atmosphère de ce livre : "A mes amis, les morts et les vivants, de la division Harel; à Hanokh Kossowski, valeureux soldat, homme de terroir et de sang comme nous tous, qui surmonte son hostilité pour continuer à éprouver de l'affection envers celui que je suis. A tous ceux-là, que j'aime profondément, qui ont vécu la boucherie infernale et ont, malgré tout, fondé un état".

En effet, 1948 est l'année de la création de l'état d'Israël. Une création dans la douleur, car comme le dit justement l'auteur, il fallait être fou de fonder cet état dans un monde aussi hostile.

Alors, âgé de 17 ans, en novembre 1947, il s'engage volontairement dans l'armée, avec l'objectif de créer cet état. Une folie donc à tenter et avec raison puisqu'au final Israël a été reconnu le 14 mai 1948.

L'auteur décrit très bien l'atmosphère de l'époque, avec ces campagnes de reconnaissance avant les sanglants combats. Entre deux combats ou compagnes, il fallait se distraire et Yoram a animé des soirées autour de la poésie.

La ville de Césarée est prise, revanche  sur l'époque romaine. Quant à la bataille de Nebi Samuel, elle a été une des plus absurdes et des plus meurtrières. Elle a été un échec et personne n'a plus voulu en parler, d'où le besoin de l'évoquer dans ce livre, raconté de l'intérieur, par un de ses survivants qu'a été l'auteur. D'autres échecs seront à déplorer. Il va être blessé à la jambe et devoir rentrer chez lui, en convalescence mais il veut aller jusqu'au bout de cette guerre d'indépendance...

Récit très prenant, entrecoupé de retours en arrières, ce qui complique un peu la compréhension du texte, mais comme se comporte la mémoire, qui n'est jamais linéaire. Car un événement ramène au passé. Retours en arrière, comme si aussi raconter cette guerre était une vraie épreuve pour l'auteur.

En résumé, un livre exigeant, qui demande de l'attention à son lecteur, mais qui éclaire cette troublante période de la création d'Israël, tellement peu désirée par les nations du monde entier.

J'inscris ce livre dans le cadre du challenge de la rentrée littéraire initiée par Mimi et Hérisson :

 

 

3/7

 

Bonne lecture,

Denis

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 10:51
 
Il y a des écrivains comme Cendars, London,ou Kipling qui sont partis se frotter au monde et tremper leur plume dans les océans du globe pour nourrir leurs écrits.
Il y a aussi des voyageurs, des Conrad, Bouvier ou Stevenson qui ont fini par coucher sur le papier leurs aventures du bout de l'horizon.
Passionnés, passionnants, ces Ecrivains voyageurs sont réunis dans ce beau livre finement illustré.
Laurent Maréchaux , auteur inspiré qui nous avait régalés de son fourmillant roman " Bijoux de famille " ( Editions Le Dilettante ),
 
 
lui-même grand voyageur, nous fait vibrer au rythme trépidant de ces vagabonds qui disent le monde.
 
 
 
 
Editions Arthaud , 190 pages , janvier 2012
 
 
 
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14 septembre 2012 5 14 /09 /septembre /2012 21:50

 

 

Sous la Manche de Gilles Pétel

 (Editions Stock - août 2012 - 268 pages)

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J'ai eu le plaisir de lire ce livre dans le cadre du jury du livre FNAC.

Tout commence à Londres où John Burny, homosexuel, agent immobilier, va de rencontres en rencontres. Un week-end, il part pour Paris par le transmanche.

Juliette a flashé pour Roland, l'inspecteur de police qui a pris sa déposition lors d'un dépôt de plainte. Dix ans plus tard, mariés avec enfants, leur couple vacille.

Philip et MArgareth Loo arrivent en gare de Paris et trouvent un cadavre assassiné dans leur wagon. Ils préviennent aussitôt la police, ce qui leur vaut quelques difficultés de compréhension.

La victime est John Burny et Roland est chargé de l'enquête. Il part en train refaire le parcours en sens inverse jusqu'à Londres.

La séduisante Kate l'accueille à l'agence immobiliaire où a travaillé John. Petit à petit, il sent qu'il entre dans le personnage de John et commence à se sentir comme s'il était lui...

"Sous la Manche" n'est pas un roman policier, malgré le début de l'intrigue. C'est un roman "psychologique" sur le mal-être de personnages qui se cherchent, parfois dans les "marges" comme l'homosexualité, quête de soi.

Un très bon livre que j'ai apprécié pour son atmosphère "étrange" par moment, pour son style efficace.

C'est le cinquième roman de Gilles Pétel, dix ans après son précédent "La Déposition" (Stock 2002).

Gilles Pétel

Bonne lecture,

Denis

J'inscris ce livre dans le challenge rentrée littéraire 2012 animé par

   

 

2/7

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1 septembre 2012 6 01 /09 /septembre /2012 09:00

 

Le prix du roman FNAC 2012 auquel j'ai participé en juin 2012 a été décerné cette semaine à un roman qui semble très intéressant:

 

Peste & Choléra de Patrick Deville (Le Seuil - collection Fiction  Cie)

 

Je n'ai pas eu le plaisir de lire ce livre mais cinq autres que je présenterai tout au long du mois de septembre.

"Le Monde des Livres", la semaine dernière a publié un article passionnant sur ce livre titré "Le bacille de l'écrivain-voyageur".

Je vous laisse découvrir cet article qui montre comment l'auteur est parti à la recherche des traces d'Alexandre Yersin (1863-1943), "découvreur du bacille de la peste, explorateur et curieux tous azimuts".

 

 

 

 

Description de cette image, également commentée ci-après

 

Un livre à lire donc.

Et en poche parait

Bonne lecture,

Denis

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 19:44

 

Pour John et Ella , soixante ans de mariage. C'est l'heure de la grand évasion : direction la californie, via la mythique Route 66.

L'un a la mémoire qui flanche, l'autre le corps en déroute, mais il n'est jamais trop tard pour conquérir son bonheur!

 

« Ce couple chancelant affronte crevaison, braquage, chute, sans faillir dans sa détermination à finir en beauté. N’hésitez pas vous non plus à vous embarquer dans cette réjouissante ode à la liberté ! »

 

 

 

Jean-François Merle (Traduction)

EDITIONS 10 - 18  / 2011 / 288 pages

 

 

Michael Zadoorian est un auteur américain.

Il écrit dans divers magazines littéraires tels que The North American Review, Beloit Fiction Journal, The Literary Review ou encore American Fiction.

Michael Zadoorian est l'auteur de deux romans et d'un recueil de nouvelles. Le Cherche-bonheur (The Leisure Seeker, 2009) est son deuxième roman.

Il a reçu plusieurs prix, dont : Columbia University’s Anahid Literary Award, The Michigan Notable Book Award et The Great Lakes Colleges Association New Writers Award.

Il vit avec son épouse à Ferndale, dans le Michigan.

Site internet :

michaelzadoorian.com

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