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22 juillet 2013 1 22 /07 /juillet /2013 21:22

Dans les années 50, apparait aux Etats-Unis un groupe littéraire qui fait scandale.

Jack Kerouac (1922-1969) a été le premier à utiliser cette formule "Beat Generation", en 1948.

 

Cet écrivain est considéré comme le chef de file de ce courant littéraire et son roman "Sur la route" (On the road) en est un symbole très fort. L'auteur s'y met en scène et décrit ses divers voyages aux U.S.A. On y vit de l'intérieur ce monde de la "beat generation", celle qui se livre sans vergogne à l'alcool et à toutes sortes de drogues, sans oublier les amours débridés. Un livre écrit sur un rouleau et qui, une fois retrouvé, a permis de publier la version intégrale du texte :

Un excellent film a été tiré de ce roman, qui restitue à merveille l'ambiance de l'époque et du livre :

 

 

D'autres auteurs sont moins connus ou du moins moins lus.

 

Allen Ginsberg (1926-1999), un des membres fondateurs de la "beat generation",est poète avant tout et a fait scandale avec "Howl" en 1956, un long poème en prose (publié en 10/18, sans doute introuvable à présent).

 

                                                        Description de cette image, également commentée ci-après

 

 

 

 

William S. Burroughs (1914-1997), ami de Kerouac et Ginsberg a créeé le concept littéraire du "cut-up", qui est la création d'un texte  à partir de fragments de textes (romans, articles de journaux...) savamment mis bout à bout pour reconstruire un nouveau texte.

             

                                               Description de cette image, également commentée ci-après

Son texte "le festin nu" (The naked lunch) fera également scandale mais sa gloire littéraire viendra plus tard dans les années 1980-1990.

Les "mauvais élèves" des années 50 ont eu une postérité qui a marqué la littérature des U.S.A. De même, Bob Dylan s'est inspiré de ce mouvement dans certaines de ses chansons et le film "Easy Rider" s'en inspire également :

 

                                          EasyRider.jpg

Ce sont là quelques pistes de lectures pour les amoureux de l'aventure littéraire des U.S.A.

 

Bonnes lectures,

Denis

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 21:30

             CHARLES BAUDELAIRE


Maître, il est beau ton Vers ; ciseleur sans pareil
Tu nous charmes toujours par ta grâce nouvelle,
Parnassien enchanteur du pays du soleil,
Notre langue frémit sous ta lyre si belle.

Les Classiques sont morts ; le voici le réveil ;
Grand Régénérateur, sous ta pure et vaste aile
Toute une ère est groupée. En ton vers de vermeil
Nous buvons ce poison doux qui nous ensorcelle.

Verlaine, Mallarmé sur ta trace ont suivi.
Ô Maître, tu n'es plus mais tu vas vivre encore,
Tu vivras dans un jour pleinement assouvi.

Du Passé, maintenant, ton siècle ouvre un chemin
Où renaîtront les fleurs, perles de ton déclin.
Voilà la Nuit finie à l'éveil de l'Aurore. 


                                     
                                                                              Emile Nelligan  
    

   

                                                               
                                                                   

                                                               Portrait d' Emile NELLIGAN



Fabienne

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 20:48

Alain Daumer nous annonce son spectacle sur son blog autour de "La chute" d'Albert Camus à Toulouse puis à Stockholm en septembre prochain :

 

 

THEATRE DE POCHE

10 rue El Alamein ( Quartier Bonnefoy )

31 - TOULOUSE

05.61.48.25.52

les VENDREDI 21 & SAMEDI 22 SEPTEMBRE 2013 à 20h30

 

et aussi :

 

STRINDBERGS INTIMA TEATER

Barnhusgatan 20

STOCKHOLM

les VENDREDI 27 & SAMEDI 28 SEPTEMBRE à 19h

 

http://www.strindbergsintimateater.SE

 

        
  

Alain DAUMER rend à merveille les ambiguïtés d’un des personnages les plus fascinants de CAMUS : présence aimantée d’un corps, d’une voix qui font exister le « juge pénitent ».

L’efficacité théâtrale de cette Chute est incontestable !

Agnès SPIQUEL  – Présidente - Société des Etudes Camusiennes

 

Un exceptionnel numéro d’acteur ! On se demande qui, du « juge-pénitent » ou de l’acteur, se régale le plus de cette provocation sur le fil du rasoir. Une fois entré dans la pièce elle ne vous quitte plus.

Violetta ASSIER– Dauphiné Libéré – FESTIVAL AVIGNON 2012

 

 

                                       -------------------------------------------

 

Alain Daumer reprend son spectacle l'année des 100 ans de la naissance d'Albert Camus et Stockholm est tout un symbole, eu égard, à son Prix Nobel de Littérature de 1957.

 

Hélas, Toulouse et Stockholm sont trop loin de chez moi, alors, si vous êtes toulousains ou suédois, et que vous allez voir "La chute", n'hésitez pas à m'en faire un compte rendu.

 

Bon spectacle,

 

Denis

 

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 17:16

J'ai lu deux articles du "Monde les livres" qui m'ont rappelé l'importance littéraire de la ville de Trieste.

Tout d'abord, un auteur que j'ai découvert grâce au premier article :

- Boris Pahor : article "libérer Trieste : "Quand Ulysse revient à Trieste"

 

 

L'auteur est un monsieur âgé de bientôt 100 ans, très peu connu, alors qu'il semble être un auteur majeur de notre époque. Honte à moi de ne pas l'avoir lu !!!

L'article rappelle que Trieste appartenait à l'Autriche-Hongrie lorsque l'auteur y est né en 1913. Il est donc slovène et non italien, puisque la ville est devenue italienne en 1921.

 

- Italo Svevo : article "Italo Svevo, perdant magnifique"

 

L'auteur est né à Trieste en 1861. Son vrai nom est Aron Hector Schmitz. Son pseudonyme veut dire "italo-souabe". C'est dire là aussi l'ambiguïté de la "nationalité" des triestins. Le livre qui est présenté est une biographie qui se montre passionnante sur cet écrivain, là encore, trop peu connu. On connait surtout de lui son chef d'oeuvre : "La conscience de Zeno" (1923)

 

 

 

File:ItaloSvevo statue.jpg

 

Et n'oublions pas que James Joyce a vécu à Trieste et y a laissé son empreinte :

 

 

 

Autre auteur : Claudio Magris, né en 1939, à Trieste

 

 

 

Un 5e auteur : Umberto Saba né à Trieste en 1883, contemporain de Svevo

 

 

 

 

 

File:Umberto Saba 003.jpg

 

 

Stendhal a été consul de France à Trieste en 1831.

 

A défaut d'aller à Trieste, je pense me faire une "thématique Trieste" en fin d'année pour découvrir ces écrivains importants et trop peu connus (excepté Joyce qui n'y est pas né).

 

N'hésitez pas à me faire part de vos lectures si vous avez croisé Svevo, Saba, Pahor ou Magris sur votre route littéraire...

 

Bonne lecture,

 

Denis

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 16:18

Voici un message que j'ai reçu récemment :

 


Bonjour,
J’ouvre un site de textes interactifs et je cherche des retours/avis/commentaires.

J’avoue qu’un petit coup de pouce de la part de lecteurs avisés me serait précieux !

Si vous avez 5 minutes, merci de jeter un œil à : http://www.QueFaitesVous.com

En vous remerciant
LAINE Pierre-jean

 

 

N'hésitez pas à aller y faire un petit tour.

Denis

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 20:40

  

L'écrivain québécois Gaétan Soucy est décédé le 9 juillet 2013 à l'âge de 54 ans, suite à une crise cardiaque.

Né en 1958, il est surtout connu pour son roman "La petite fille qui aimait trop les allumettes" (1998). Philosophe, il travaille aussi sur le langage et ce roman en est la preuve.

 

 

 

Extrait du roman :

"Je posais la main sur la tête du bambin, où c'était blond et doux et me faisais de l'effet, je vous jure. C'est que plus d'une fois sur les illustrations nous en avions vu, mon frère et moi, en train de s'élever dans les airs à l'instar des ballons à cause des petites ailes qu'ils ont dans le dos et qu'ils conservent un certain nombre d'années en souvenir des limbes tant que la mue ne s'est pas achevée, et minute papillon ! Pas question que tu me fasses le coup de l'ascension avant que j'en aie terminé avec toi ! Je lui ai mis donc la main sur la tête, comme je disais, mais peut-être ne saisissait-il rien aux sons qui me jaillissaient de la langue comme d'un tremplin d'une souplesse extraordinaire, qui sait ? Les mots se forment dans l'enceinte de mes joues et ma langue les balaie au-dehors avec une célérité dont on n'a pas idée, et tout cela surpassait peut être la tête d'un bambin qui, tout ailé fût-il, m'arrivait à peine à la cuisse".

Un magnifique roman qui m'a fortement étonné et surpris par le ton. 

 

Ses autres romans sont beaucoup moins connus. Ses livres ont été publiés aux Editions Boreal : 4 au total et un recueil de nouvelles, plus des pièces de théâtre.

Certains sont disponibles au format de poche en France :

 

 

 

 

 

Un auteur majeur de la littérature québécoise moderne à découvrir. A ce propos, pour honorer la mémoire de Gaétan Soucy, Cryssilda Collins a créé sur facebook, un événement auquel il est possible de s'inscrire pour participer à une lecture commune d'un des livres de l'auteur le 9 août prochain :

https://www.facebook.com/events/119992401504625/

 

J'y participerai.

 

Bonne lecture,

 

Denis

 

 

 

 

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 07:00

 

Apocalypse bébé de Virginie Despentes

(Livre de Poche - 2012 - 377 pages - première édition Grasset 2010)

Prix Renaudot 2010

 

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J'ai lu ce livre l'an dernier pour le prix des lecteurs 2012 du livre de poche.

J'avais un certain a-priori sur l'oeuvre de Virginie Despentes, plutôt "provocatrice" et puis j'ai lu ce livre. Et régulièrement, elle publie un article pour "le monde des livres" avec grande pertinence ce qui m'a fait changer d'avis la concernant.

 

Certes, elle a son langage qui n'est pas de bois, qui s'adapte aux personnages qu'elle met en scène. Mais, j'ai réellement trouvé une qualité littéraire dans ce roman "Apocalypse bébé".

Ce texte se lit comme un roman policier. Lucie travaille pour une agence de filature. Elle est chargée de suivre Valentine, 15 ans, jeune fille "dévergondée, droguée". Sur demande de sa grand-mère, Jacqueline Galtant. Mais, brusquement, Valentine a disparu pendant une filature et n'est pas rentré chez elle le soir. Mission est confiée à Lucie de la retrouver.

Lucie demande alors à Kromag, un ami barman, de la mettre en contact avec "la Hyène", une femme mûre, qui connait très bien le monde des lycéennes. Elle accepte de l'aider et l'enquête va pouvoir commencer.

Lucie est la narratrice de cette histoire. L'auteure reprend la main quand les différents protagonistes sont présentés au fil de l'avancée de l'enquête.

Tout d'abord le père, François, écrivain célèbre, qui n'aime pas trop sa fille. Puis la belle-mère, Claire, (Valentine ayant été abandonnée par sa mère quand elle avait deux ans), et là c'est vraiment plus que compliqué car il y a une violence exprimée. Valentine a considéré Claire comme une "demeurée".

Ensuite, il y a Yacine de la branche familiale de la mère de Valentine. Un grand amour va naître entre Yacine et la jeune fille, toujours friande d'amour et de sexualité débridée. Il est le dernier à l'avoir vue. Alors, tout semble s'éclairer. Valentine est partie à Barcelone où vit sa mère qu'elle n'a pas revue depuis plus de 13 ans.

Lucie et la Hyène se rendent alors à Barcelone, où cette dernière y a des amies très intimes, car elle est lesbienne et ne le cache pas à Lucie.

Elles rencontrent donc Vanessa, mariée à un architecte, Camille, qui voyage sans cesse. Elle révèle aux "enquêtrices" qu'elle a vu sa fille, l'a installée dans un hôtel et l'a vue durant une dizaine de jours avant qu'elle ne quitte l'hôtel. Il n'était pas question qu'elle l'héberge car Camille ne connait pas l'existence de Valentine.

Lucie va suivre la Hyène dans ses aventures nocturnes au point de la faire aimer une des jeunes femmes croisée dans une orgie.

Qu'est devenue Valentine, vont-elles la retrouver? et la ramener à Paris?

Il faut lire le livre pour avoir la réponse. Je dirai seulement que la fin est étrange et ne m'a pas convaincu. Hormis cela, c'est un très beau texte à la narration très bien menée et maîtrisée. Un texte "jeune" aussi avec les mots d'aujourd'hui. Bravo Virginie Despentes, vous m'avez donné envie de suivre votre oeuvre littéraire et convaincu que vous avez un grand talent d'écrivain.

Voici le début du roman : "Il n'y a pas si longtemps de ça, j'avais encore trente ans. Tout pouvait arriver. Il suffisait de faire les bons choix, au bon moment. Je changeais souvent de travail, mes contrats n'étaient pas renouvelés, je n'avais pas le temps de m'ennuyer. Je ne me plaignais pas de mon niveau de vie. J'habitais rarement seule. Les saisons s'enchaînaient façon paquets de bonbons : faciles à gober et colorés. J'ignore à quel moment la vie a cessé de me sourire".

Claire se confie ici. Elle va être écrasée par la Hyène qui va prendre les choses en main.

Début de la première partie intitulée "Barcelone" : "La Hyène a trouvé l'adresse de la mère de Valentine avant rafik. La nuit de bitume qu'on vient de se prendre n'a guère atténué ma vexation : pour une fois que j'étais sur une piste. Petit jour, juste avant d'arriver à Barcelone, on dépasse d'énormes et intrigantes bulles blanches, l'usine nucléaire resplendit sous un soleil déjà violent. Bretelles d'autoroutes emmêlées, on se glise dans la ville..."

Vous aurez un aperçu du style imagé de l'auteure.

 

 

Une auteure à lire pour mieux comprendre le temps dans lequel on vit, ici, dans la tourmente de l'adolescence où drogue, sexualité conduisent à des situations qui peuvent dériver vers l'extrême.

 

J'inscris ce livre dans le challenge de Laure "à tous prix"

 

 

 

Bonne lecture,

 

Denis

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 20:05

 

Envie de partager avec vous ces magnifiques marque-pages

reçus de la Librairie MOLLAT de Bordeaux (année 2010).

Ils en sortent  toujours de très beaux !

 

  

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8 juillet 2013 1 08 /07 /juillet /2013 21:13

J'ai décidé de profiter du centième anniversaire de la publication du premier tome de ce monument littéraire qu'est "A la recherche du temps perdu" de Marcel Proust

  

  

  

pour lire enfin intégralement ces 3 000 pages au format Pléiade (édition de 1954 préfacée par André Maurois).

Et comme je me suis inventé une méthode de lecture que j'appelle "10 pages par jour", je lis 10 pages par jour de ce chef d'oeuvre, ce qui me mènera jusqu'en juin prochain, soit près d'un an de vie avec Marcel Proust.

Alors, j'ai décidé d'accompagner cette année avec des livres qui parlent de Marcel Proust, tel celui-ci que j'ai commencé début juillet :

  

  

Un livre richement illustré et dont le titre, lié à une belle collection qui présente d'autres écrivains, montre bien l'intention du livre.

"Passion Proust", oui, dirons-nous.

  

Je lirai d'autres livres glanés de ci de là à la bibliothèque, sans oublier un livre que j'ai dans ma bibliothèque depuis de longues années (1983) :

  

Alors, si vous avez des idées de livres, n'hésitez pas à m'en donner les titres.

 

Pour rappel, "A la recherche du temps perdu" se décompose comme suit :

 

 

Le roman est publié en sept tomes :

  1. Du côté de chez Swann (à compte d’auteur chez Grasset en 1913, puis dans une version modifiée chez Gallimard en 1919) (texte sur Wikisource)
  2. À l'ombre des jeunes filles en fleurs (1919, chez Gallimard ; reçoit le prix Goncourt la même année)
  3. Le Côté de Guermantes (en deux volumes, chez Gallimard, 1920-1921)
  4. Sodome et Gomorrhe I et II (chez Gallimard, 1921-1922)
  5. La Prisonnière (posth. 1923)
  6. Albertine disparue (posth. 1925) (titre original : La Fugitive)
  7. Le Temps retrouvé (posth. 1927)

 

Le titre "la fugitive" n'a pu être retenu car en 1922, l'écrivain Tagore publiait en France un recueil de poèmes "La fugitive"

Miss Bouquinaix a prévu de lire "A la recherche du temps perdu" à partir de juillet également. Ceci pour dire qu'il y aura des croisements entre blogs autour de cette lecture dont personne n'ose rappeler la célébrissime première phrase :"Longtemps..."

Bonne lecture,

Denis

 

 

 

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7 juillet 2013 7 07 /07 /juillet /2013 18:10

Alors que le mois du Québec, sur les blogs littéraires débutera le 1er septembre 2013, je commence à préparer la liste des livres que je lirai à cette occasion.

Et je fouille dans ma bibliothèque pour voir quels livres je pourrai lire à cette occasion.

J'avais le souvenir de posséder un livre sur la littérature canadienne que j'ai retrouvé en cinq minutes (comme quoi, je peux dans 3 000 livres en avoir un en quelques instants, malgré un fouillis certain).

Et alors, stupéfaction, c'est un livre que j'ai acheté en avril 1978 (et oui, j'avais déjà envie de lire de la littérature québéco-canadienne depuis déjà bien longtemps) :

"Le roman canadien-français du vingtième siècle" par Réjean Robidoux et André Renaud (Editions de l'université d'Ottawa - 1966)

  

Sur Internet on apprend que ce livre est épuisé, ce qui n'est pas étonnant, compte tenu de son âge. Il reprend des cours universitaires diffusés sur le réseau français de télévision de Radio-Canada.

Alors, bien sûr, je vais enfin lire ce livre en amont du mois de septembre et je vais m'en servir pour structurer quatre lectures, autour de quatre thèmes développés dans le livre :

1 - "Les thèmes traditionnels " : 4 livres présentés dont "Les engagés du grand portage" de Léo-Paul Desrosiers, que j'ai dans ma bibliothèque :

  

  

2 - "Le roman de moeurs" : 3 livres présentés dont "Bonheur d'occasion" de Gabrielle Roy (qui fera l'objet d'une lecture commune à laquelle je participerai le 12 septembre), livre présent dans ma bibliothèque :

  

  

3 - "Le roman intérieur" : 4 livres présentés dont aucun présent dans ma bibliothèque (à voir si j'en trouve un à la bliothèque du Havre!!) 

 

4- "Vers le roman-poème d'aujourd'hui" : 3 livres présentés dont "Les chambres de bois" d'Anne Hébert que je possède :

 

Un fil conducteur, donc, pour de belles lectures.

 

Il y aura d'autres lectures que j'ai prévues : Michel Tremblay pour une lecture commune le 16 septembre 2013 avec le début de sa série parue en thésaurus (Actes Sud) "Chroniques du Plateau-Mont-Royal" :

 

 

 

Enfin, je lirai pour terminer le mois et annoncer le mis américain d'octobre 2013, le livre de Victor-Lévy Beaulieu : "Monsieur Melville"

 

 

Ce mois québécois me permettra de sortir de ma bibliothèque 6 livres, ce qui est plutôt bien.

J'en ai d'autres bien sûr, grâce aux passages réguliers que je fais à la librairie du Québec à Paris, depuis déjà quelques années... Mais je ne veux pas me montrer trop gourmand, car je pense avoir devant moi quelques heures de lecture...

Bon futur challenge à tous les participants

Denis

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