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1 août 2013 4 01 /08 /août /2013 19:16

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1 août 2013 4 01 /08 /août /2013 19:11

Illiers est situé aux confins de la Beauce et du Perche, à 113kms de Paris, et à 25kms de Chartes. 

C'est en 1971, lors de la commémoration du centième anniversaire de la naissance de l'écrivain Marcel Proust, sur proposition du Ministre de l'Intérieur Raymond Marcellin, qu'Illiers devint officiellement Illiers - Combray.

  

I 

  

" Combray de loin , à dix lieues à la ronde, vue du chemin de fer, quand nous arrivions la dernière semaine avant Pâques, ce n'était qu'une église résumant la ville, la représentant, parlant d'elle et pour elle aux lointains et, quand on approchait, tenant serrés autour de sa haute mante sombre, en plein champ contre le vent, comme une pastoure ses brebis, les dos laineux et gris des maisons rassemblées qu'un reste de rempart du Moyen - Âge cernait çà et là d'un trait aussi parfaitement circulaire qu'une petite ville dans un tableau de primitif."

Extrait " Du côté de chez Swann "

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" La maison de Tante Léonie " est la seule trace subsistant dans la réalité de la demeure immortalisée par Marcel Proust dans son grand cycle romanesque

" A la recherche du temps perdu ". 

 

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Musée Marcel Proust

4, rue du Docteur Proust

28120 Illiers - Combray

Tel/fax : 02 37 24 30 97

marcelproust@wanadoo.fr

http://perso.orange.fr/marcelproust/

 

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La visite de la maison des vacances d'enfant de l'écrivain est , pour ses lecteurs l'occasion d'émouvantes retrouvailles avec ses textes.

Des dons et legs de la famille et des proches de l'auteur permettent de présenter dans la maison et le musée, du mobilier, des documents, objets, lettres de Proust et de ses amis.

Un vaste ensemble de photographies de Paul nadar illustre le " Monde de Proust ". 

 

 

La chambre de Marcel Proust 

 

Françoise, Elisabeth Proust ( 1828 - 1886 ), soeur du professeur de médecine Achille, Adrien Proust, père de l'écrivain Marcel Proust, épousa Jules Amiot, marchand de nouveautés, établi au n°14 de la Place du marché.

Ils habitaient une maison sise au n°4 rue du St - Esprit ( actuelle rue du Docteur - Proust )

C'est donc chez ses oncle et tante que Marcel Proust est venu passer ses vacances durant son enfance, venant à la campagne pour respirer un air plus sain qu'à Paris, où vivaient ses parents.

C'est ainsi que l'écrivain put, dès son plus jeune âge, s'imprégner de la vie du village et de ses habitants ( " Combray " dans " A la recherche du temps perdu ").

 

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Adrien Proust , père de l'écrivain, est né à Illiers,

au n°15 de l'actuelle Rue du Docteur-Proust 

 

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Continuons notre ballade sur les pas de Proust jusqu'au Pré Catelan 

 

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Ce jardin fut créé par Jules Amiot, oncle de l'écrivain, en bordure du Loir, à la sortie d'Illiers, en direction de Tansonville. Il fut baptisé Pré catelan, par analogie avec le jardin parisien du Bois de Boulogne.

 

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 A noter, à mi - hauteur, une construction baptisée " Le Pavillon des Archers ", dans laquelle Marcel Proust aimait s'isoler.

 

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Au point le plus haut, " la barrière blanche " offre une perspective sur la plaine en direction de Brou et de Méréglise. 

 

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Célèbre pour sa haie d'aubépines qui borde tout au long du sentier extérieur, montant de la Rue Tansonville vers la bariière Blanche, qui donne lieu à une rencontre littéraire chaque année.

 

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Photos Fabienne Lecomte - 31 juillet 2013  

 

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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 21:06

Liberté pour les ours de John Irving (Le Seuil - 411 pages - mai 1991)

Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Josée Kamoun

Titre original : Setting free the Bears - 1968

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Premier roman de John Irving publié en 1968 alors que l'auteur a 26 ans (né en 1942 à Exeter au New Hampshire). Il ne sera donc proposé aux lecteurs français que 23 ans plus tard, quand l'auteur aura connu la notoriété. C'est en effet le 6e roman publié, alors.

C'est dire qu'il n'a pas eu de diffusion rapide et donc qu'il devait être "anecdotique" dans l'oeuvre de John Irving. Sauf qu'un premier roman est toujours à regarder avec beaucoup d'attention.

On peut ainsi dire que la première phrase qui a débuté l'oeuvre littéraire de John Irving est la suivante : "Je savais le trouver tous les midis, assis sur un banc dans le parc de l'Hôtel de Ville, un petit sachet bourré de radis de serre sur les genoux et une bouteille de bière à la main".

 

Et des milliers de pages ont suivi cet instant...

Pour l'heure, intéressons-nous aux 400 premières pages données par John Irving sous le titre "Setting free the Bears". La liberté est déjà au rendez-vous ainsi que l'ours qui va apparaitre dans nombre de romans de l'auteur.

 

Deux personnages que l'on peut dire "loufoques", au risque de faire fuir les lecteurs cartésiens (rassurez-vous je me sens très cartésien et j'adore l'oeuvre de Irving) : Siegfried Javotnik, dit Siggy et Hannes Graff.

Trois parties inégales en longueur, bien que la deuxième partie aurait pu être divisée eu deux : 1 - Siggy (un peu plus de 110 pages, racontée par Graff) ; 2 - Les carnets (environ 190 pages racontée par Siggy) ; 3 - Liberté (environ 100 pages racontée par Graff).

Et de cours chapitres non numérotés. Mais tout est daté avec précision dans le roman. 

Voici pour la structure du texte, plutôt "symétrique".

La première partie raconte la rencontre de Siggy et Graff autour d'une vielle moto. Les deux hommes avides de voyage et de liberté décident de partir en voyage ensemble avec cette moto. Ils vont rencontrer deux jeunes filles, vont au zoo de Vienne, (ville qu'ils habitent) et partent tous deux sur les routes, avec pour fil conducteur la rivière Ybbs. Quelques péripéties parsèment leur parcours. Et puis, ils rencontent une jeune lingère, Gatten et Graff tombe immédiatement amoureux de la frêle jeune fille. Ils décident donc de rester auprès d'elle. Graff travaille alors pour un apiculteur et Siggy décide de partir pour le zoo de Vienne avec la folle envie de libérer les animaux. A son retour non désiré par les habitants du village, il a un accident avec la charrette qui contenait les ruches, lesquelles s'ouvrent, piquant tous ceux qui se trouvent au côté des ruches dont Graff et Siggy.

Commence alors la deuxième partie, qui contient les carnets de Siggy. Il y raconte sa "préhistoire", reprenant alors l'histoire de sa mère, autrichienne, puis cette de son père yougoslave. S'entrecroisent les notes prises par Siggy lors de sa nuit du 5 au 6 juin 1967 passée au zoo de Vienne dans le but de libérer les animaux.

Graff qui se remet de ses piqûres d'abeilles lit ces carnets et c'est lui qui a l'idée se mélanger les deux carnets. Ce qui est passionnant dans la présentation des parents de Siggy, c'est qu'il intègre l'histoire de ses parents dans le contexte historique de l'époque : celle de l'anschluss en février - mars 1938 (annexion de l'Autriche par l'Allemagne avec démission de Schuschnigg) pour sa mère et les années 1941 et suivantes avec l'entrée des nazis en Yougoslavie et l'émergence timide mais certaine d'un certain Josip Broz dit Tito.

Enfin, la troisième partie est difficile à résumer car elle est l'aboutissement du roman et c'est dommage d'effleurer la fin du livre. Je poserai simplement la question suivante : Siggy et Graff vont-ils réellement libérer les ours et plus encore les animaux du zoo?

 

Il convient ici de rappeler que John Irving, grâce à une bourse d'étude est venu à Vienne pendant une année et les lieux qu'il a connus comme Kaprun, village de montagne où il allait skier.

 

Vous aurez compris combien ce roman est riche, étonnant aussi, avec ces ruptures de styles, de rythme. Il faut se laisser porter par les mots, les fantasmes des personnages (donc de l'auteur) en se disant qu'une telle oeuvre est unique, inimitable dans l'univers littéraire du 20e siècle.

 

Et on prend un réel plaisir à se laisser guider par ces deux "fous" de liberté et de voyage. Ce que l'on aime être tout de même quand on lit et que l'on veut qu'un livre nous porte loin du réel. Irving est un magicien en ce sens et que de trouvailles de style, de narration. Un régal qui ne demande qu'à se laisser porter de livre en livre.

 

Alors, ma prochaine lecture, sera pour le "mois américain (USA)" organisé en octobre sur les blogs, avec son deuxième roman publié aux USA : "L'épopée du buveur d'eau" publié en 1972 aux USA et en 1988 (donc avant "liberté pour les ours" en France), avec le titre original : "The Water-method Man".

 

"Liberté pour les ours" a fait l'objet d'une lecture commune. Voici le lien vers l'article de Heide et de Valentyne (l'écho des écuries) 

 

Et j'inscris également cette lecture dans le "challenge John Irving" initié par Val aime les livres

 

A_challenge_for_John_Irving

 

 

Note : 4/5  (la perfection n'existant pas)

Bonne lecture 

Denis

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30 juillet 2013 2 30 /07 /juillet /2013 18:01
 
 
Elisabeth Lafont vient de publier ce nouveau livre, un recueil de nouvelles
 
Voici comment elle présente son livre sur sa page facebook :
 
Mon livre... :

Ecrire comme une naissance, écrire pour apprendre, comprendre, se visiter.
Ecrire, marcheuse, belliqueuse.
Ecrire pour vivre, courir et rejoindre Paris, le "km" zéro" !

Réveil embrumé, un coup de peigne, deux pompons rouges sur les joues.
L'attente chez l'éditeur. La moquette absorbe tous les bruits... Le silence et cette fameuse odeur de papier qui flotte et imprègne tout. Papier m...ouillé, papier séché, papier déchiré. Du papier partout, sur les tables, les étagères, dans des cartons. Des signes, des caractères. Du noir, du blanc !......

La suite dans
"De l'Ombre à l'Aurore"
Editions LANGLOIS Cécile
Elisabeth LAFONT
Copyright
 
 
 
                                                 --------------------------------------------
 
Ce début de nouvelle donne vraiment envie de lire ce livre, n'est-ce pas...
 
Bonne lecture,
 
Denis
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30 juillet 2013 2 30 /07 /juillet /2013 17:53

Le poète Ahcène Mariche publie un nouveau recueil de poème aux éditions Edilivre :

 

 

 

Vous pouvez lire l'introduction au recueil et les deux premiers poèmes du recueil grâce à ce lien :

 

http://www.edilivre.com/frontwidget/preview/viewer/id/496456/

 

N'hésitez pas à prendre connaissance de ce recueil et à lire la poésie d'Ahcène Mariche.

 

 

 

 

Ahcène Mariche est poète kabyle, par ailleurs professeur de physique.

 

Bonne lecture,

Denis

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29 juillet 2013 1 29 /07 /juillet /2013 21:05

 

 

Comme on le sait les U.S.A. sont un très grand pays par la taille, et quand on se dit qu'un russe et un français sont aux antipodes de l'Europe, on peut se poser la question pour les USA entre californiens et new yorkais.

Et si la littérature des USA avait aussi ses particularités compte tenu de l'étendue de son pays, un continent presque à lui seul (9 826 675 km2) en comparaison avec l'Europe (10 180 000 km2).

J'ai retrouvé un numéro de la revue "Lire" d'octobre 2011 "spécial Etats-Unis", et justement il y a une cartographie des écrivains.

Ainsi, la revue classe en "7 familles", les lettres américaines (USA) selos une liste bien sûr non exhaustive :

- La Californie : John Steinbeck, Philip K. Dick, Raymond Clandler, Raymond Carver f(pour les "classiques") et pour aujourd'hui : Bret Easton Ellis, James Ellroy, James Frey, Jesse Kellerman, Dave Eggers, Michael Chabon, William T. Vollmann et Seth Greenland...

 

- Les grands espaces (Du Montana au Colorado, de l'Alaska au Nouveau-Mexique) : Henry David Thoreau, Jack London, Jack Kerouac, Edward Abbey, Richard Brautigan, Cormac McCarthy, Jim Harrison, Dan O'Brien, Tom Robbins, Denis Johnson, Annie Proulx, David Vann...

 

- Les grands lacs : Francis Scott Fitzgerald, Nelsen Agren, Saul Bellow, Laura Kasischke, Richard Powers, Jeffrey Eugenides, Louise Erdrich...

 

- La Nouvelle-Angleterre (région adossée à l'Atlantique) : Edgar Allan Poe, Nathaniel Hawthorne, Emily Dickinson, John Updike, Philip Roth, John Irving, Richard Russo, Joyce Carol Oates, Stephen King, Toni Morrison, Richard Ford, Dennis Lehanne...

 

- New York : Herman Melville, Walt Whitman, William Gaddis, J.D. Sallinger, Norman Mailer, Jonathan Franzen, Paul Auster, Jay McInerney, Jonathan Safran Foer, Siri Hustvedt, Daniel Mendelsohn, Don DeLillo, Tom Wolfe, Russel Banks...

 

- Le Sud : Mark Twain, William Faulkner, Tennessee Williams, Flannery O'Connor, John Grisham, Kathryn Stockett...

 

- Les expatriés (pour quelques années ou pour une vie) : Henry James, Ernest Hemingway, James Baldwin, Henry Miller, Douglas Kennedy, Robert Littell, Iain Levison, Dinaw Mengestu...

 

C'est intéressant de classer ainsi les écrivains par "régions", ce qui peut donner une certaine cohérence littéraire. Alors, bien sûr il faudrait rajouter bien d'autres écrivains, mais cette décomposition en "7 familles" permet d'avoir des repères géographiques. A chacun d'y ajouter ses auteurs favoris non cités ici.

Je pense par exemple à John Fante. Né à Denver, il se rend à 20 ans à Los Angeles et y meurt. Je le classe donc dans la famille Californie.

 

Je ne pourrai pas le faire dans le cadre du "mois américain" d'octobre, mais je pense que par la suite, je me ferai des thématiques par "famille" pour m'imprégner un peu plus d'une région, d'une ambiance, qui pourraient avoir des effets littéraires intéressants.

 

Bonnes futures lectures,

Denis

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27 juillet 2013 6 27 /07 /juillet /2013 21:22

  

Le diable chuchotait de MIYABE Miyuki

(Editions Philippe Picquier - 372 pages - Avril 2012)

Traduit du japonais par Myriam Dartois-Ako ("Majustu wa sasayatsu" - 1989)

 

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L'éditeur annonce sur la couverture "roman policier". Et en effet, il y a des mortes, suicidées. Mais, sont-ce des suicides ou des meurtres déguisés.

Le jeune KUSAKA Mamoru, 16 ans est venu vivre à Tokyo après qu'il se soit retrouvé sans parents, sa mère étant décédée et son père étant détenu pour détournement de fonds. Il vit à présent chez son oncle Taizo.

Cet oncle, chauffeur de taxi, a tué une jeune femme, Yoko, qui a brusquement traversé à un feu tricologue, devant sa voiture. Sa famille ne comprend pas que la police s'acharne à le garder en prison alors qu'elle est convaincue qu'il est innocent et que c'est un accident dont il n'est pas responsable.

Mamoru fait sa propre enquête de son côté. Il a reçu un appel téléphonique énigmatique qui lui dit que c'est une bonne chose que Yokio soit morte !!!

Qui est cet homme et y a t-il un lien entre trois suicides de jeunes femmes qui semblaient affolées. Pourquoi? Qui pouvait les poursuivre pour leur faire peur? Si c'est bien là la situation réelle.

Mamoru va avancer avec une piste qui est une revue intitulée "Chaîne d'info".

Comme il s'agit d'un roman policier, il ne faut pas trop dévoiler l'intrigue.

Je dirai seulement que les cent dernières pages auraient pû être supprimées car le livre s'enlise alors dans l'ésotérisme, l'étrange. Et je n'y ai pas trouvé de grande force littéraire.

En résumé, on s'ennuie par moments et je ne garderai pas un souvenir impérissable de ce livre. Le diable n'a pas réussi à me chuchoter aux oreilles des mots qui m'auraient mis en émoi...

 

 

L'auteur, MIYABE Miyuki, née en 1960, a 5 livres publiés en France et de dizaines publiés au Japon. Ce roman a été un de ses premiers publiés au Japon.

 

Denis

 

Livre lu dans le cadre du challenge "Ecrivains japonais - 2013" organisé par Adalana

(le mois prochain ce sera YOSHIMURA Akira)

Logo écrivains japonais_1

 

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25 juillet 2013 4 25 /07 /juillet /2013 20:22

 

Le Magazine Littéraire d'août 2013 nous présente 10 grands auteurs de littérature étrangère, 6 hommes /  4 femmes, qui ont marqué l'année littéraire :

- John Irving

- Lidia Jorge

- Enrique Vila-Matas

- Laura Kasischke

- Alice Munro

- Zadie Smith

- Oran Pamuk

- Arnaldur Indridason

- Richard Powers

- Mo Yan

 

Un excellent choix. Je ne connais pas Zadie Smith et Richard Powers. J'en saurai plus en achetant ce numéro qui vient de paraître et qui me donnera encore des envies de lectures.

De ces 10 auteurs, John Irving et Enrique Vila-Matas sont les deux auteurs que j'ai le plus lu.

J'ai découvert cette année Lidia Jorge avec un grand bonheur de lecture que j'ai présenté sur le blog avec "La nuit des femmes qui chantent".

J'ai également lu le Nobel turc dont l'écriture est de grande ampleur : Oran Pamuk (non chroniqué sur mon blog). J'ai eu moins le coup de coeur avec le Nobel de l'an dernier Mo Yan.

Voilà de quoi bien avancer en août au coeur de la littérature de qualité avec cette revue.

 

Bonne lecture,

 

Denis

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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 20:48

Voici le courriel que j'ai reçu ce soir :

 

 

Bonjour,

je travaille depuis quelques années sur le thème des préjugés. Je photographie des
personnes qui peuvent être votre boulanger, votre libraire.... avec une
"inculpation" (non criminel justement) sur des sentiments, métiers.... Pour nous
questionner sur nos propres valeurs, nos propres jugements.

Dévoiler des facettes inconnues de leur Moi est le jeu auquel se sont prêtés
plusieurs volontaires, parmi eux, Hafed Benotman, auteur de romans policiers
chez Rivages .


je vais bientôt actualiser mon site, j'ai pris des nouvelles photos en situation
www.artphotollg.com

Bonne journée, ou bonne soirée

                                                                         ------------------------------------------

 

 

Un travail original à découvrir.

 

Denis



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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 07:00

 

 

 L'été - Claude Monet

 

 

Ah, la nuit d'été a un sourire de lumière et elle s'assied

 sur un trône de saphir.
Barry Cornwall

 

 

Il y aura été éternel au coeur reconnaissant.
Celia Thaxter



 

La nuit d'été est comme une perfection de pensée.
Wallace Stevens

 

   

L'été qui s'enfuit est un ami qui part.

Victor Hugo

   

Les brefs étés ont souvent des printemps précoces.

William Shakespeare

  

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