Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 08:00

 

 

 

  

Dans l'air vibre la corde

Silence tendu silence rompu

Chute mate d'une fleur de camélia

 

 

*****

 

  

Dans la plaine acidulée

Un ruisseau ondule

Miroitement du colza en fleur

 

 

*****

 

  

Estuaire printanier

Dans le lointain

Le campanile d'un temple

 

 

*****

 

Journée de printemps qui s'étire

Un bâillement entraîne l'autre

Deux amis se quittent

 

 

*****

 

 

Sous ma fenêtre un éclat jaune

Colza en fleur

Clair crépuscule d'un printemps de brume

 

 

*****

 

 

 

Repost0
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 07:00

 

Je suis tombée par hasard

sur ces magnifiques peinture de chats.

 Juste envie de les partager avec vous !

Bravo à l'artiste HEATHER ANDERSON !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Larger Than Life

 

 

 

 

 

James Bond - Portrait

 

 

 

 

 

King Minnie - Portrait

 

 

 

 

 

Visions of Sugar Mice

 

 

 

 

 

 

Enigma

 

 

 

 

 

Charm - Portrait

 

 

 

 

 

 

Kittens Capers

 

 

( Source photos internet )

Repost0
6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 06:00

 

de-secondat-lire.jpg

Repost0
5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 08:00

 

 

 

 

 

 

 Editions 10/18 - juin 2007 - 220 pages

 

 

 

Située sur une île au large des côtes hollandaises,

 la Rose des Dunes accueille chaque été

de nouveaux occupants.

Les vacanciers se succèdent, leurs histoires défilent

et transforment la maison en théâtre de vie.

 Un couple répare son amour, une femme en pleine

convalescence retrouve goût à la vie.

Les destins se construisent ou se déchirent sous la pulsion

des embruns.

En véritable metteur en scène, Vonne van der Meer

fait jouer au fil des pages une comédie sensible

et épurée sur la nature humaine.

«Une histoire simple et magique comme ces coquillages que la gardienne rapporte sur la plage à la fin de la saison.»

 

 

 

Extrait du livre :
Une petite maison carrée, revêtue de planches

gou­dronnées noires.

Deux ailes, telles deux hanches larges rapportées.

 S'agissait-il de chambres, d'une cuisine ou d'une remise,

la photo ne le disait pas.

Au rez-de-chaussée, une grande porte-fenêtre

donnant sur une terrasse entourée d'une palissade

en bois blanc. Floris pourrait jouer là, au soleil,

sur une couverture.

Juste sous le toit aux tuiles orange, il y avait

 une autre petite fenêtre et, dans le triangle entre celle-ci

et celui-là, un étroit panneau blanc portant

 une mention en lettres noires,

apparemment son nom : Duinroos.

Un soir, il y avait de ça environ cinq semaines,

 Chiel était rentré avec un guide des maisons de vacances ;

 il l'avait ouvert et le lui avait posé sur les genoux.
- Regarde, celle-là, je me suis arrangé pour

la louer une semaine.
Elle avait tout de suite remarqué que cette maison,

 c'était du solide, du tangible, tout le contraire

 de ce qu'elle était elle-même ces derniers temps.

Elle espé­rait que les planches exhalaient encore l'odeur

 de gou­dron ; le goudron la ramenait, en une goulée d'air,

 aux étés de son enfance, aux quais où elle allait voir

avec son père les embarcations des pêcheurs.
Dana avait gravé la photo de Duinroos dans sa mémoire,

 mais maintenant qu'ils s'en approchaient à bord du bus,

 la pluie battante ne lui permettait de repérer

que de vagues contours ; c'est à peine si elle distinguait

quelque chose à travers la vitre.

À supposer que Chiel eût discuté avec elle

au lieu de la prendre de court, elle aurait peut-être,

tout compte fait, opté pour des vacances

dans un pays chaud, pour une île au nom exotique

où l'on peut se promener en maillot de bain dès le mois d'avril.
Le bus s'arrêta près d'un terrain de camping, le Stortemelk ; personne ne descendit, il faisait encore bien trop froid

 pour planter la tente.

Drôle de nom, Stortemelk, ça lui rappela le lait s'écoulant

spontané­ment de ses seins quand, au bout de six mois,

elle avait arrêté d'allaiter.

 Elle n'était encore jamais venue sur l'île de Vlieland,

ignorait tout de la distance qui sépare Duinroos du port,

 s'ils étaient tout près, ou s'ils avaient déjà dépassé

la maison dans l'hypothèse où le chauffeur aurait oublié

de les prévenir.

Si tel était le cas, il ne leur resterait plus qu'à faire demi-tour

 et à marcher un sacré bout de chemin sous les flots de pluie

 en portant Floris et tous leurs bagages, dont un énorme sac

rien que pour les draps.

Comme s'ils n'avaient déjà pas assez de choses

à trimballer comme ça.

Durant tout le voyage, deux heures de voiture

et une heure et demie de bateau, Floris n'avait pas fermé

 l'oeil une seconde ; à présent, il dormait,

 la tête contre la poitrine de son père.

 Et quand il dormait, il était deux fois plus lourd.

 Que n'avaient-ils pris un taxi, ils seraient déjà arrivés

 depuis un bail. Elle poussa Chiel du coude.
- Tu sais où l'on doit descendre ?

 

 

 

 

Née en 1952 aux Pays-Bas, Vonne van der Meer a publié

son premier roman en 1987.

Avec sa trilogie de Duinroos, dont le deuxième volet,

Le Bateau du soir, a paru aux éditions Héloïse d'Ormesson

 en 2007, elle a touché les lecteurs dans toute l'Europe.

 

 

Pour rappel , je mets un lien du livre

" Le voyage vers l'enfant "

qu'avait lu Denis.

 

 Bonne découverte et bonne lecture !

 

Repost0
5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 07:00

 

 

 

Painting of kittens. Boris Kasyanov

 

 

 

 

 

Painting of kittens. Boris Kasyanov

 

 

 

 

 

 

Painting of kittens. Boris Kasyanov

 

 

 

 

 

 

Painting of kittens. Boris Kasyanov

 

 

 

 

 

 

Painting of kittens. Boris Kasyanov

 

 

 

 

 

 

Painting of kittens. Boris Kasyanov

 

 

 

 

 

 

Painting of kittens. Boris Kasyanov

 

 

 

 

 

 

Painting of kittens. Boris Kasyanov

 

 

 

 

 

 

Painting of kittens. Boris Kasyanov

 

 

 

( Source photos internet )

 

Repost0
5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 06:00

 

rupture-avec-soi-bobin.jpg

Repost0
4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 09:00

 

 

 

 

 

 

 

L'oubli est le suprême refuge.

Marcel Achard

 

 

L'oubli, c'est la vie.
Alphonse Allais

 

 

L'amour , c'est l'oubli de soi.

René Barjavel

 

 

 L'absence de l'être aimé laisse derrière soi un lent poison qui s'appelle l'oubli.
L'absence de l'être aimé laisse derrière soi

un lent poison qui s'appelle l'oubli.

Claude Aveline

L'absence de l'être aimé laisse derrière soi un lent poison qui s'appelle l'oubli.


 

 

  Oublie les injures, n'oublie jamais les bienfaits.

Confucius

 

 

A l'oubli succède l'indifférence de l'oubli comme

un écho muet qui prolonge la durée et augmente

 l'espace de l'oubli.

Jacques Ferron

 

 

L'oubli détient le pouvoir et le sens du secret.

Maurice Blanchot

 

 

L'oubli se conjugue à tous les temps : au futur

pour vivre le commencement,

au présent pour vivre l'instant,

 au passé pour vivre le retour...

Marc Augé

 

 

On n'oublie rien de ce qu'on veut oublier :

c'est le reste qu'on oublie.

Boris Vian

 

 

 Faire rire, c'est faire oublier. Quel bienfaiteur sur la terre, qu'un distributeur d'oubli !

Victor Hugo

Repost0
4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 08:00

 

Une histoire d'amour impossible entre une mère

de famille pauvre , dont le mari schizophrène s'est envolé,

 et un jeune loup au portefeuille bien garni.

Sur le modèle et l'humour qui ont fait le succès du

 Mec de la tombe d'à côté , les larmes de Tarzan dénonce

les injustices sociales tout en se moquant au passage

 de l'éternelle opposition entre hommes et femmes.

 

 

 

 

  

Editions GAÏA - 2007 - 265 pages

 

 

Elle c'est Tarzan, lui Janne.
Ils n'auraient jamais dû se rencontrer, mais voilà

qu'elle lui est tombée dessus, dans tous les sens

 du terme, un jour où justement elle jouait à Tarzan,

suspendue au bout d'une corde.

Un sacré numéro, cette Mariana, et pas du tout

son genre à lui, l'homme d'affaires plein aux as,

habitué à collectionner les canons

qu'on voit dans les magazines.

 Il voudrait bien comprendre pourquoi il est obsédé

par cette nana fagotée comme un sac à patates,

les cheveux en pétard, qui ne s'épile même pas le maillot

 et qui, malgré une attirance réciproque

et une formidable entente sexuelle,

 n'est même pas amoureuse de lui.
Pour couronner le tout, elle est flanquée de deux mômes impossibles, une vraie calamité pour les sièges cuir

de sa Lamborghini dernier cri.

 

  

 Après l'immense succès du Mec de la tombe d'à côté,

 Katarina Mazetti met en scène un nouveau couple loufoque

 et improbable pour mieux brocarder les injustices

sociales et rire de l'éternelle guerre des sexes

dans un roman enlevé, drôle et caustique.

 

 

 Ce livre est également disponible en livre de poche

( Babel / Actes Sud )

Repost0
4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 07:00

 

 

 J'ai reçu ce petit livre Helen Exley et c'est un petit trésor

pour les amoureux de ces félins !

  

 

 

 

 

 Les chats sont étonnants.
Ils prennent des airs supérieurs, distants.

Ce sont pourtant des compagnons chaleureux

 et irremplaçables.

Et superbe !

Comment ne pas les aimer ?

 

Repost0
4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 06:00

 

devenir-un-homme-camus.jpg

Repost0

Présentation

  • : BONHEUR DE LIRE
  •                       BONHEUR DE LIRE
  • : BLOC D'UN COUPLE PASSIONNE DE LIVRES, ART , HISTOIRE, LITTERATURE ET COLLECTIONNEURS DE MARQUE-PAGES.
  • Contact

             

  

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Recherche

Texte Libre

*** Phrases diverses ***