Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
19 janvier 2010 2 19 /01 /janvier /2010 07:00



j-ai-seme-d-amour.jpg

Repost0
18 janvier 2010 1 18 /01 /janvier /2010 10:33









 
Merci à MADININA 27 d'avoir poster ce jour le 6000ème commentaire.
 J'ai découvert MADININA , tout récemment grâce au Blog d'AMARYLLIS.

Si vous aimez les chats , nul doute que vous serez conquise par le blog de MADININA 27 , qui est une voisine vu qu'elle habite dans l'EURE !

Et si vous aimez les fleurs , n'hésitez pas à aller vous promener dans les jardins d'AMARYLLIS !




Repost0
18 janvier 2010 1 18 /01 /janvier /2010 09:00




ligne de coeurs




 " La
vraie générosité envers l'avenir consiste à tout donner au présent."

 Albert Camus - L'homme révolté




 " Le bonheur d'avoir ou d'obtenir n'existe pas, seul celui de donner compte. "

 Henry Drummond




 " L'homme généreux invente même des raisons de donner."

                                              Publius Syrus





joli decors coeur et fleur





 " Pour connaître la valeur de la générosité, il faut avoir souffert de la froide indifférence des autres..."

           Eugène Cloutier




 " Une
des qualités fondamentales pour vivre à deux c'est la générosité. "

                                                 Marc Levy




 " Offrir de la beauté naturelle, c'est de la générosité. "

            Gao Xingjian


ligne de coeurs




 " La générosité, c'est toujours le sacrifice de soi ; il en est l'essence."

      Henry de Montherlant




 " La générosité ne suffit pas ; il faut la foi et l'humilité."

                 Jacques Brillant




 " L'amitié suppose plus de générosité et l'amour plus de sollicitude."

   Thérèse Tardif



ligne de séparation avec coeur fleur



 " Il n'y a pas d'enthousiasme sans sagesse, ni de sagesse sans générosité."

     Paul Eluard





 " C'est souvent l'amitié qui fait naître et qui nourrit et entretient les plus beaux sentiments de générosité dont le coeur humain est capable."

                                                     Jean Boccace




 " La vraie générosité est celle que personne ne peut comprendre. Dès que la bonté rentre dans le domaine de l'admirable, elle n'est plus de la bonté."

      Amélie Nothomb


Décors coeur bleu

Repost0
18 janvier 2010 1 18 /01 /janvier /2010 08:00


camus2.jpg            
     


Le prix Nobel comble et terrorise à la fois l’auteur de «l’Homme révolté». Pourquoi son «Discours de Stockholm»
a-t-il toujours autant d’importance?
 Lorsque Camus reçoit, en 1957, à l’âge de 44 ans, le prix Nobel, sa première réaction publique sera pour proclamer:
«C’est Malraux qui aurait dû l’avoir.»
C’est une élégance de grand seigneur mais aussi une façon d’anticiper les réactions narquoises dont ne sauraient se priver les intellectuels parisiens.
Camus intériorise aisément cette hiérarchie qui le place au-dessous de Malraux. Il se trouve lui-même bien jeune, estime son œuvre loin d’être achevée (on ne saurait, selon lui, avoir déjà une idée de son message), il se croit frappé de stérilité, il souffre de la tragédie algérienne, et des problèmes très personnels le font osciller entre une déréliction coupable et une rage secrète qui désarment ce désir obsessionnel de toujours rester disponible pour le bonheur.

Cette consécration internationale le comble et le terrorise.
Sartre l’achève en disant de son Nobel: «C’est bien fait!»
La société parisienne de dénigrement, comme il la baptise, ignore et ne s’intéresse pas au fait que ce prix Nobel enthousiasme l’Europe tout entière et la jeunesse.
Elle s’adonne à la dérision aux dépens d’un écrivain décrété mineur tandis qu’en cette époque encore stalinienne tous les dissidents de l’Est explosent de joie. Dans leur presse clandestine, leurs samizdats célèbrent le livre qui fut et demeure celui de leur délivrance projetée : «l’Homme révolté».
Après Roger Martin du Gard, André Gide et François Mauriac, voici donc, sur l’Olympe, dès après la guerre, un jeune roturier venu des faubourgs ouvriers d’Alger et dont la mère a longtemps fait des ménages.
Tous ceux qui l’ont précédé à Stockholm étaient de grands bourgeois, parfois assez fortunés pour se permettre d’attendre sans impatience d’être reconnus.

Alors, pourquoi Camus? Les jurés du prix Nobel ont-ils eu la prescience que leur jeune lauréat – le plus jeune après Kipling – mourrait trois ans après? Il avait 47 ans, lorsqu’un accident de voiture sur une route déserte, droite et sèche mit un terme à une vie lumineuse et mutila ainsi un destin.
Le discours que prononce Camus à Stockholm lors de la cérémonie de l’attribution du prix est d’une si grande importance que l’on en recommande la lecture (aussitôt après «le Premier Homme», son roman posthume) à ceux qui veulent s’initier à son œuvre.
 Dans ce discours, Camus tient d’abord à souligner qu’en lui, c’est un Français d’Algérie qui reçoit cette distinction mondiale.
Il veut rappeler que parmi cette population désignée sous le nom de «pied-noir», que l’on dit alors constituée de colons aisés et sans scrupules, il peut donc se trouver des êtres issus des milieux les plus pauvres et capables de faire honneur à leur pays et à l’humanité.

Le Camus algérien est entièrement dans ce rappel (ou ce défi) et on l’y retrouve mieux encore que dans la fameuse réplique, d’ailleurs toujours tronquée quand on la cite, qui fut celle de Camus en réponse à des étudiants algériens résidant à Stockholm:
«Entre ma mère et la justice, je préférerai toujours ma mère.» Ainsi raccourcie et trahie, la citation choquera les esprits les moins prévenus, parfois même dans l’entourage de Camus, mais on devra attendre mai 2006 pour entendre un président de la République algérienne, Abdelaziz Bouteflika, déclarer que la préférence ainsi donnée par Camus à la mère traduit un sentiment vraiment et profondément algérien.

Dans cette maudite affaire algérienne, Camus, toujours «solidaire et solitaire», et si proche en cela d’une Germaine Tillion refuse qu'un écrivain puisse s'exclure de l'histoire de son temps. C'est ce qui va le conduire à penser, dès l’apparition du terrorisme et de la répression, qu’une certaine forme d’engagement s’impose.
Toute dénonciation de la barbarie de l’un encourage celle de l’autre.
 Or il refusera toujours que la revanche puisse tenir lieu de justice, que le mal réponde au mal, que la violence soit encore accoucheuse d’histoire et que même Auschwitz puisse jamais justifier Hiroshima.

Il faut prendre parti.
C’est ce que Camus a fait dans la Résistance pendant l’Occupation contre les nazis, et dès la découverte de l’univers concentrationnaire et du goulag dans les pays de l’Est. Mais dans cette guerre d’Algérie tout manichéisme lui paraît à la fois confortable et criminel. Sans illusions sur la pratique de la non-violence, il préconise un pacifisme qui milite pour la suspension et la limitation des violences.
 Le rêve de Camus aurait été que l’on pût rendre justice aux Algériens sans priver les pieds-noirs de leur patrie. Il était partisan d’une fédération franco-algérienne qui aurait été possible, selon lui, sans cette guerre interminable. L’intellectuel devait préconiser, contre toutes les fatalités du sens de l’Histoire, cette conciliation entre la justice et la fraternité.

Dans le discours du prix Nobel, il y a une autre grande idée, précisément sur cette violence qui enténèbre la raison et endeuille la justice. Nous sommes alors aux deux tiers du XXe siècle, précisément caractérisé par la barbarie.
 Le totalitarisme soviétique ne s’est pas encore effondré et le souvenir du nazisme est plus atrocement vivant que jamais. On n’a plus le droit de parler de «violence révolutionnaire», à moins de faire de la violence même l’essence et la finalité de la révolution.
 Un monde commence à disparaître, une morale à s’imposer.
Camus dit à Stockholm que lui qui a fait partie de la génération des jeunes gens qui voulaient changer le monde, se trouve désormais invité à le conserver.

L’œuvre de Camus n’a pas connu auprès du grand public ni des milieux littéraires cet «enfer» que les auteurs et créateurs connaissent après leur mort pendant un temps plus ou moins grand.
De fait, on n’a jamais cessé de lire «l’Etranger», l’une des œuvres françaises contemporaines les plus traduites dans le monde.
Mais cette œuvre a connu plus qu’un «purgatoire» auprès des universitaires français.
C’est aujourd’hui seulement que l’on convient que cet écrivain, qui, pas plus que Gide, Malraux, Aragon et Giono, n’était normalien, agrégé de philosophie ou enseignant, s’inscrivait dans la tradition de Montaigne, de Pascal, et de Diderot.
De Pascal, il a dit: «Il me bouleverse mais ne me convainc pas.»
 Mais on ne peut connaître Camus sans se référer à Nietzsche et à Dostoïevski.
 Il tournera toujours autour du paradoxe «Si rien n’existe, alors tout est permis», auquel il répond que c’est parce que la vie n’a pas de sens qu’il faut lui en donner un.

On convient surtout que «l’Etranger» et «la Chute» sont des phénomènes littéraires inauguraux. Le premier est un récit écrit à la première personne, fruit des influences croisées de Kafka et de Hemingway, sur un personnage, Meursault, dont l’indifférence est insondable, les observations aussi neutres que lisses.
On rapproche aujourd’hui la mort de Meursault dans «l’Etranger» de celle de Kaliaev dans «les Justes», mais aussi de celle de Julien Sorel dans «le Rouge et le Noir».
Ces héros ont accepté la mort comme s’ils désiraient confirmer l’absurdité du monde auquel appartiennent les juges.


Dans «l’Etranger», dans «Caligula» et dans «le Mythe de Sisyphe», un concept simple et insolite, celui de l’absurde, résume l’insupportable concomitance de la recherche du bonheur et de la certitude de la mort et projette dans la dérision toutes les justifications de n’importe quelle transcendance.
«La seule excuse de Dieu, c’est qu’il n’existe pas.»
Camus avait un plan précis et programmé de l’œuvre qu’il voulait accomplir.
D’abord l’absurde, avec « l’Etranger », «le Mythe de Sisyphe» et «Caligula».
Ensuite la révolte avec «les Justes», «la Peste» et «l’Homme révolté».
La mort l’a empêché de décrire le cycle qui devait être la boucle de son projet et dont le thème était l’amour.
Dans une certaine mesure, «le Premier Homme» réalise en partie l’œuvre interrompue.

Camus n’avait prévu aucun des changements du monde qu’il voulait s’efforcer de conserver.
 Ni le retour du fanatisme religieux, ni la mondialisation du terrorisme, ni les transformations de l’expression de la pensée sous l’effet des technologies de l’informatique, ni l’ambition humanitaire qui peut conduire à une guerre au nom du bien (qu’aurait fait son docteur Rieux qui, dans «la Peste», soignait des incurables, devant la guerre d’Irak?).
Reste que l’influence de Camus a été considérable mais que c’est pourtant aujourd’hui seulement que l’on en voit les traces.
Le combat contre l’absolu, la révolte à l’échelle humaine, l’acceptation que l’homme doit faire son métier d’homme sans certitude de réussite et sans promesse de salut sont des idées qui nourrissent plus ou moins directement les œuvres de nombre de penseurs et d’essayistes de tous pays.



Jean Daniel






Jean Daniel a notamment publié chez Gallimard un essai :
 «Avec Camus. Comment résister à l’air du temps» (2006).










Comment expliquer la stupéfiante pérennité d'une oeuvre, celle d'Albert Camus, que personne, pendant longtemps, ne songeait à placer parmi les plus grandes.

En journaliste qui n'a cessé de réfléchir sur la philosophie de son métier, Jean Daniel, grâce au souvenir de ses rapports avec l'auteur de L'homme révolté et après une relecture de l'oeuvre entière à la lumière des urgences contemporaines, propose de découvrir chez Camus une véritable éthique du journalisme devenue indispensable pour échapper au règne de l'air du temps.

Pourquoi Camus, qui considérait son métier de journaliste comme aussi noble que celui de romancier ou d'auteur dramatique, a-t-il brutalement cessé d'écrire après une ultime collaboration à L'Express en 1955/1956, alors même que l'Algérie s'enflammait ?

C'est à partir de cette question fondamentale que Jean Daniel s'interroge sur l'engagement de Camus, la manière dont il concevait le journalisme et son exercice, et plus précisément, en l'occurrence, sur son impossibilité à être journaliste à propos d'événements qui le meurtrissaient intimement. C'est aussi, plus largement, la réflexion d'un grand professionnel sur son métier, à l'heure où les nouvelles technologies de l'information ne cessent de faciliter le sensationnel et l'immédiat au détriment de l'analyse et du recul.



Repost0
18 janvier 2010 1 18 /01 /janvier /2010 07:00



jean-Racine.jpg

Repost0
17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 12:28
                                                               

                                            (375 pages - First Editions - 3e trimestre 2009 -
                                                  Traduit de l'américain par Aurore Guitry
                                                 TItre original : Dreamers of the day - 2008)

Deux personnages historiques :

- Thomas-Edward Lawrence, dit Lawrence d'Arabie (1888 - 1935)

                                                       

Héros de la Grande Guerre au Moyen Orient, il fut le principal artisan de la victoire britannique contre les turcs en 1918, aprè avoir organisé la révolte des tribus arabes.
Il a raconté cette "épopée" dans son livre devenu mythique "les sept piliers de la sagesse"

                                              

- Sir Winston Leonard Spencer Churchill (1874 - 1965) : Jeune militaire, correspondant de guerre, il entre vite en politique et est nommé ministre de la guerre et de l'air de 1919 à 1922, au moment de l'action de ce roman.

                                  

D'autres personnages histoires moins connus parcourent ce roman.

Aussi, l'auteur annonce d'entrée : "L'aube des rêveurs est une fiction. J'ai modifié certains détails historiques et quelques dates pour ne pas fourvoyer les lecteurs férus de vérité. Aussi souvent que possible, j'ai retranscrit tels quels les dialogues des personnes historiques".

Avec ce roman, on plonge dans l'Egypte de 1921, au Caire, essentiellement.

Mars 1921 : A la conférence du Caire, Churchill décide de confier l’autorité politique sur le Mandat irakien à Fayçal, qui vient d’être chassé de Damas par les Français. Le pays doit accéder rapidement à l’indépendance, une fois les intérêts britanniques garantis. La Grande-Bretagne procède à un allégement de sa présence militaire au profit d’une force armée locale étroitement contrôlée. Elle conserve essentiellement une force aérienne chargée du maintien de l’ordre par d’éventuel bombardements et du contrôle des voies aériennes vers l’Inde. Les bases militaires britanniques sont protégées par des forces auxiliaires locales composées de chrétiens assyriens. La candidature de Fayçal est accueillie favorablement par les notables chiites du sud et suite à un simulacre de consultation populaire, Fayçal est élu roi et couronné le 23 août (information Wapedia-Wiki 1921)

Chuchill a besoin de la présence de Lawrence pour dialoguer avec les autochtones, parfois très hostiles aux britanniques.

Le roman s'insère dans cette conférence historique par le biais d'une jeune femme américaine, Agnès Schanklin. Elle a perdu toute sa famille de la grippe espagnole. Comme sa soeur Lillie a vécu avec son mari Douglas à Jbaïl et qu'lle aconnu Lawrence, Agnès décide de partir en vacances en Zgypte après avoir hérité du patrimoine familial.
Elle débarque à Alexandrie avec sa chienne Rosie, avant d'atteindre Le Caire. Mais l'hôtel que lui a choisi l'agence de voyage refuse les chiens.. Alors, elle doit aller dans un hôtel de classe inférieure. Mais le destin a fait qu'elle a eu le temps de croiser Lawrence et Churchill, et son voyage ne va plus être celui qu'elle imaginait. Les deux hommes vont prendre son desin en main, l'invitant tour à tour à se joindre à eux à des dîners, a des sorties. Elle va passer un dimanche avec Churchill qui a décidé de peindre les pyramides de Gizeh, pour se détendre des tensions liées à la Conférence du Caire.
Quant à Lawrence, il va la conduire jusqu'à Jbaïl, là où vécut la soeur d'Agnès et où il la cotoya.

Un espion allemand, Karl Weilbacher se prend d'amitié pour Agnès, va s'occuper de la chienne quand Agnès est de sortie. Il veut surtout obtenir des informations sur la Conférence par l'intermédiaire d'Agnès, qui se laisse prendre au jeu.

L'essentiel du roman se passe sur ces quelques jours du voyage en Egypte sur fonds historique. C'est l'occasion de voyager avec elle dans une egypte en quête d'identité.

De retour aux Etats-Unis, Agnès va faire fructifier sa fortune jusqu'à la crise de 1929 qui va l'obliger à travailler dans une école...

J'avoue avoir eu un peu de difficultés à rentrer dans ce roman (où la fin est une "parole d'outre-tombe"...). Mais il reste ce fascinant voyage en excellente compagnie et qui permet de s'immerger dans l'histoire de l'après guerre...

Et le titre et la couverture à eux seuls nous font rêver de pays lointains où le romantisme a sa part pleine et entière comme dans ce livre où l'on voit Agnès fascinée par Karl ou adminrative devant Lawrence d'Arabie.

Alors, l'amateur d'histoire et de littérature que je suis a beaucoup aimé ce livre...

Je remercie ici  

                                                         Bibliotheque

et plus particulièrement Guillaume qui a été mon interlocuteur dans ce cadre des lectures de partenariat avec Babelio.

Les éditions "First Editions" m'ont ainsi envoyé fort aimablement ce livre pour en faire ici et sur leur site, si je le souhaite, une critique.

Enfin, voici un lien vers l'auteur Mary Doria Russell


Bon dimanche et bonnes lectures

Denis
Repost0
17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 10:20








Réveil


Ouvre les yeux
La nuit s'achève
Ouvre tes jolis yeux
Au soleil qui se lève
Ton regard qui s'éveille
Te rend belle ,
Belle comme les étoiles
Qui brillent au firmament.
Belle , comme les reflets changeants
Des vagues de l'océan.
Heureux l'élu qui chaque soir ,
Sans trêve
Sonde ton regard
Pour y trouver son rêve
Et d'un baiser , clos tes paupières
En y posant ses lèvres.


Michel Frostin

Repost0
17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 09:00





"Chroniques algériennes. 1939-1958"  Folio Essais



On trouvera dans ce recueil un choix d'articles et de textes qui tous concernent l'Algérie.
Ils s'échelonnent sur une période de vingt ans, depuis l'année 1939, où presque personne en France ne s'intéressait à ce pays, jusqu'à 1958, où tout le monde en parle. [...] Tels quels, ces textes résument la position d'un homme qui, placé très jeune devant la misère algérienne, a multiplié vainement les avertissements et qui, conscient depuis longtemps des responsabilités de son pays, ne peut approuver une politique de conservation ou d'oppression en Algérie.
Mais, averti depuis longtemps des réalités algériennes, je ne puis non plus approuver une politique de démission qui abandonnerait le peuple arabe à une plus grande misère, arracherait de ses racines séculaires le peuple français d'Algérie et favoriserait seulement, sans profit pour personne, le nouvel impérialisme qui menace la liberté de la France et de l'Occident. Une telle position ne satisfait personne, aujourd'hui, et je sais d'avance l'accueil qui lui sera fait des deux côtés.








Repost0
17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 08:00

 

C'est toujours un plaisir pour moi de vous faire découvrir des peintures " AUTOUR DES LIVRES " et c'est avec plaisir que je vous offre celles de Mihay Bodo.
Si vous désirez découvrir d'autres oeuvres de cet artiste, n'hésitez pas à aller voir son site !


 






bodo 6







bodo 10































































































Repost0
17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 07:00



bonheur-et-absurde-camus.jpg

Repost0

Présentation

  • : BONHEUR DE LIRE
  •                       BONHEUR DE LIRE
  • : BLOC D'UN COUPLE PASSIONNE DE LIVRES, ART , HISTOIRE, LITTERATURE ET COLLECTIONNEURS DE MARQUE-PAGES.
  • Contact

             

  

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Recherche

Texte Libre

*** Phrases diverses ***