Je continue sur ma lancée des thrillers d'Henning Mankell,
un régal car le suspence nous garde en haleine jusqu'au bout !
Toujours un réel bonheur de suivre l'inspecteur Wallander
dans ses enquêtes !
Trois jeunes partis fêter la Saint-Jean disparaissent.
Peu après, leurs parents reçoivent d'eux des cartes postales
de quelques villes d'Europe.
Wallander rentre de vacances lorsqu'il se penche sur l'affaire,
qui se complique par l'assassinat de son proche collègue Svedberg.
Qui était exactement ce flic efficace mais secret ?
Les cartes postales ont-elles réellement été écrites
par les jeunes disparus ? Les deux affaires sont-elles liées ?
Pourquoi Svedberg n'a-t-il pas fait part de ses soupçons
à ses collègues ?
Les questions se multiplient, et l'enquête semble
désespérément stagner.
Au bout du rouleau, Wallander est hanté par la crainte
de voir le tueur frapper à nouveau.
Le lecteur ne peut que se laisser habiter par ce polar
magistralement mené, où Mankell ménage le mystère
et l'angoisse jusqu'à la dernière ligne.
Editions SEUIL Policiers - 2001 - 490 pages
Nuit de la Saint-Jean. Trois jeunes gens ont rendez-vous
Pour la première fois, notre sympathique inspecteur,
Henning Mankell, né en 1948, partage sa vie
entre le Mozambique et la Suède.
Écrivain multiforme, il a reçu de l'Académie suédoise
le Grand Prix de la littérature policière.
Sont déjà parus au Seuil :
Le Guerrier solitaire (1999), La Cinquième Femme
(2000).